L’ambiance à la FLA après le « pays lock »
Il était presque sept heures,
quand la petite rue Dufort sise au Bois-Verna se peuple d’étudiants, baladeurs
à l’oreille, sac au dos et livres en mains, se dirigeant tous vers la Faculté
De linguistique Appliquée (FLA).
Ce lundi 27 janvier, tous les
étudiants des autres niveaux ainsi catégorisées -les différentes années de
licence dans plusieurs universités- se sont rejoints à ceux du niveau I rentrés
depuis le 8 janvier 2020.
À l’antipode du Décanat et l’administration
qui fonctionnaient depuis après le « lock », des cris de joies d’ambiances de
retrouvailles sont visiblement perçus sur les visages, même si certains n’ont
pas retenu leur crainte par rapport à la situation d’insécurité et la
conjoncture politique.
De son côté, le Décanat de la
dite faculté a lancé ses propos de bienvenue à la reprise des activités tout en
invitant les étudiants à se mettre au travail surtout dans un pays comme le
nôtre où tout devient possible. Ce qui nous pousse encore à cette interrogation
: Entre incertitudes et empressement, est-ce là, un environnement propice pour
un apprentissage universitaire !?
Kévena Lydie Joseph
Correspondante de « Les Cahiers de
L’INAGHEI » à
La Faculté de Linguistique Appliquée (FLA)
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